[left]j’ai laisser tes crayons là où ils traînaient
et poser sur ton lit tes poupées de chiffons
J’ouvre la fenêtre où t’observer l’horizon
Un peu comme si demain enfin tu revenais
Mais cela fait plus de quatre ans aujourd’hui
Je sais bien que c’est loin de moi que tu vie
Il ne me reste que quelques photos de toi
Quelques poèmes gribouillés, dans un tiroir
un cahier dans lequel tu disais tout de toi
où tout les jours tu racontais de ton histoire
Tu as laisser quelques livres et des posters
Ton cartable de cuir, plein d’objets divers
Je n’ai jamais pu quitter la maison vide
J’y traînes mon visage blême et livide
Il y a ton fantôme qui la hante parfois
J’entends encore tout tes rires de joie