Ville d’asphalte et de béton La fumée dans tes poumons Emmène moi à la campagne Les oiseaux et puis l’herbe Et les poèmes de Malherbe Peut-être vêtu d’un pagne Les chemins de terre Pas encore pollués Les feuilles à l’envers Loin des tramway Dans le village à l’abandon A lire du François Villon