Je te cherche partout où tu n’es pas.
J’ai du mal à croire que tu n’es plus là.
je titube devant cette porte qui ne veut pas s’ouvrir,
J’ai perdu les clés, sans toi je voudrais mourir.
Je te cherche partout où tu venais,
Où je me souviens que l’on s’aimai.
Dans les bars, sur les quais, les rues,
Du quartier où tu ne viendra plus.
Les rues où on aller au cinéma,
Rue de Grenelle ou de Varène
Ou dans le petit bistrot plus bas...
... des fois que t’y revienne.
Il fait froid ce soir près de la Seine.
J’erre dans la nuit avec ma peine.
Demain, j’aurai tout oublier.
Le temps fini par effacer,
Les moindres souvenirs.
Tout arrive par finir.
Je te revois dans ton petit manteau
Et ton écharpe couleur safran.
On s’amusais à échanger nos guan.
J’étais ta «fripouille de Tourangeau».
Tu trouvais que je te faisais rire
Et puis tu te mettais à courir
comme en déployant des ailes.
Et moi, je te trouvais si belle.
Je te cherche partout où tu ne viendra plus,
Je suis si seul depuis que je t’ai perdu..
Je te cherche partout où tu venais,
Où je me souviens que l’on s’aimai.
Dans les bars, sur les quais, les rues,
Du quartier où tu ne viendra plus.
Les rues où on aller au cinéma,
Rue de Grenelle ou de Varène
Ou dans le petit bistrot plus bas...
... des fois que t’y revienne.